Sans donner suite à la proposition d’accord acceptée par le Hamas le lundi 6 mai, le cabinet de guerre israélien a décidé de poursuivre son opération à Rafah, en s’emparant du terminal frontalier. Ce mouvement, cantonné à la frontière mais très symbolique, titille les lignes rouges américaines et met la pression sur le Hamas.
Devant le Sénat, mardi 7 mai, le PDG de la SNCF, Jean-Pierre Farandou a justifié l’accord controversé sur les fins de carrière en le qualifiant de « raisonnable » et « transparent ». L’audition intervenait peu après l’annonce par le gouvernement de sa non-reconduction après les Jeux de Paris.
L’association Life for Paris a annoncé mardi 7 mai le suicide de Fred Dewilde, un dessinateur qui, le 13 novembre 2015, était dans la salle de concert. Après l’attentat, il avait publié trois livres et il témoignait souvent dans les écoles. « Il y a des fêlures invisibles, intimes, qui vous fragilisent et, parfois, il peut suffire d’un rien pour que tout bascule », confie Arthur Dénouveaux, président de Life for Paris.
Le Paris Saint-Germain affronte Dortmund ce mardi 7 mai en demi-finale retour de la Ligue des champions, tandis que l’Olympique de Marseille sera opposé jeudi à Bergame en demi-finale de Ligue Europa. Deux occasions d’espérer pour le football français, sevré de trophée européen depuis près de trente ans.
Dans cette chronique, Lucile Schmid dénonce une « bardellamania » qui semble enflammer l’espace public. Selon ses termes, ce « beau gosse » érigé en héros romanesque n’est qu’une façade qui fait le lit du RN en attendant le véritable enjeu : l’élection présidentielle de 2027.
Depuis lundi soir et les bombardements massifs sur la ville du sud de Gaza, les habitants – résidents et déplacés – hésitent entre partir et rester à Rafah, quitte à risquer la mort. La prise du poste-frontière de la ville par l’armée israélienne, mardi à l’aube, dissipe aussi les infimes espoirs de quitter l’enclave pour l’Égypte.
À travers 120 peintures, sculptures, dessins et photographies de l’artiste américain décédé en 2015, la Fondation Louis-Vuitton célèbre son œuvre abstraite, inspirée de fragments du réel. Une ode au ravissement de la vision.